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Sega’lait, une production fermière soutenue par l’Europe

Bonjour Tandem en Occitanie nous amène dans l’Aveyron découvrir la ferme Sega’lait, sur le plateau du Ségala, et une belle histoire de famille !

Bonjour Tandem en Occitanie met en lumière comment l’Union européenne et la Région agissent conjointement en Occitanie pour permettre la réalisation de projets ambitieux sur le territoire pour créer des emplois, renforcer le lien social, grâce à l’impulsion des financements européens.

« Cette Europe du concret, de la proximité et du quotidien que révèle Bonjour Tandem en Occitanie a vocation à susciter l’engagement de futurs porteurs de projets en mettant en avant celles et ceux qui ont osé et qui ont pu compter sur le soutien de l’Europe et de la Région Occitanie » explique Carole Delga, présidente de la Région Occitanie.


Se réinventer dans le métier d’agriculteur, c’est l’ambition de Fabien, ancien musicien et circassien, qui s’est lancé dans un beau projet de vie et d’entreprise : distribuer le lait de ses vaches en maintenant un lien fort avec les habitants du Ségala. Son projet a été soutenu et financé par l’Europe et l’Occitanie. L’activité de la ferme Sega’lait se divise en deux parties : d’un côté le beau-père à la production de lait, de l’autre, le gendre à la transformation et la commercialisation. Cela se passe au hameau de Truels, à l'ouest de l'Aveyron, chez Christian Bousquié, 56 ans, et son gendre, Fabien Pezet, 29 ans. C’est lui qui a voulu être la relève pour que le lait à la ferme demeure une affaire de famille en misant sur le lait frais pasteurisé, le yaourt et le fromage blanc « maison », vendus en circuit court, pour redonner un avenir baptisé « Séga’Lait » à ce que les deux précédentes générations de Bousquié avaient construit.

« Ce projet, c’est d’abord l’histoire d’une entreprise familiale, c’est celle d’un savoir-faire préservé, l’histoire d’un terroir qui ne doit pas disparaître, car il constitue l’ADN même de nos contrées. Un projet qui préserve les valeurs d’antan. »


L’achat d’équipements (pasteurisateur, étuve, frigos…) pour la mise en place de l’activité a nécessité un investissement de 50 000 euros, pour laquelle l’entreprise a reçu un financement de 10 600 euros du fonds européen FEADER.

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